FINI LES CROISSANTS CHAUDS LE MATIN
Ce matin jeudi 17 mai 2007, jour férié vous l'aurez remarqué, je me lève à 7 heures (du matin pas du soir héhé), je saute dans un survètement (pas pour aller courir, je ne suis pas complètement foldingue), j'enfile mes baskets et hop sur le vélo.
Vous me direz une petite ballade matinale sous la pluie le matin à 7 h, en vélo par dessus le marché, c'est tout a fait normal, c'est vrai que cela réveille, mais non, si je suis en vélo à pareille heure, c'est pour allez chercher des croissants tout chaud à mon jules, la boulangerie ouvrant à 7 h.
Un petit coucou à la boulangère qui soit dit en passant fait de très bons croissants, et rehop sur le vélo direction la masion sans renconter ni un chat (pas fou vu le temps), ni un être vivant, à si un automobiliste visiblement préssé parce que il me frole les baskets.
Comme il pleut, je laisse mon vélo sous le porche de la maison, car je veux bien être kamikaze pour aller chercher des croissants mais il y a des limites, et aller jusqu'a sous le hangar par ce temps, non merci.
Je vais délicatement vers 9 heures faire coucou à mon jules bien au chaud dans le lit (il est comme les chats) pour lui dire que le petit déjeuner est prêt et en discutant avant qu'il ne se lêve,il me demande quel temps il fait, je lui répond un temps de chien, et vu la pluie j'ai laissé mon vélo sous le porche.
Et là avec un culot comme seul les hommes peuvent en avoir, il me dit que c'est une habitude, que je ne le range jamais, et que j'aurais pu aller jusqu'au hangar.
Alors maintenant pour les croissants chauds, il peut toujours compter sur qui il veut mais pas sur moi parce que puisque je ne range pas mon vélo, je ne suis pas prête a retourner à la boulangerie lui en chercher.
Mon vélo avec lequel je parcours la ville pour faire des photos